21/10/19 - Fragment dispensé de rêve

Eclats de rêve :

Je ne me souviens plus.

Un moment donné, je suis le JDG ou son collègue de youtube, sur une route en terre, avec deux ornières et une ligne de touffe d'herbe centrale. Il se faufile dans une rangée d'arbre sur le côté, derrière laquelle se trouve une descente de terre-pelouse. Je m'accorche aux branches, j'essaye de trouver des appuy, ça glisse, le terrain s'est déjà effondré à quelques endroits sous les pieds des gens qui sont déjà passés par là.

Raide, jambe flaichies, j'arrive en bas d'une glissage sur 1 ou 2 mètres. Pas de chuttes, habits propres, tout va bien.

Je marche sur une pelouse, avec des rangées d'arbres carrées qui semblent former des petites parcelles grandes comme un demi terrain de foot, reliées par un réseau de chemins.

Je rejoins un chemin, je le suis, un carrefour, je prends à droite, et je vois par terre un smartphone sur le bord droit, je m'approche, commence à le toucher pour essayer de le faire fonctionner à même le sol.

Je constate qu'il est branché à un grand d'écran carré de 2 fois sa taille juste à son sommet et qu'on y voit une grande blonde marcher de dos. Je réalise que le smartphone la film, et qu'elle voulait se filmer. Je me redresse, me retourne, elle est derrière des arbres, et on la voit depuis un trou dans les arbres.

La blonde marche en dirrection d'un terrain de sport en pelouze ou il y a du monde.

Je retourne au carrefour, prend tout droit cette fois, et j'arrive au niveau de plusieurs gens derrière un muret, à droit, qui donne sur le terrain.

Je regarde, il y a des gens qui courent, comme pour un cours d'éducation sportive. Et je vois la blonde, grande, fine, comme la psy.

Je ne me souviens plus.

La blonde s'approche aec d'autres, elle a une queue de cheval, elle fait des éxercice de montées de genoux pour s'échauffer, je la regarde et elle a un visage de barbie. Je me dis, "putain, c'est vrai, elle lui ressemble".

Yeux grands ouverts, je continue mon chemin, et j'arrive dans une cours de lycée. C'est un labyrinthe de béton, ça monte, ça descent, ça tourne. Il y a des escaliers et des couloirs partout. Je fini par trouver la grande facade du lycée, avec une horloge au sommet, qui donne sur la grande cours longue qui aboutit au mur de devant le lycée.

Je sors.

Je ne me souviens plus.

Leo Dan - Te He Prometido