17/08/19 - Les phalandiers

Les Phalandiers, nom qu'on donne au Fa-lents, les tiseurs en retards, qui cherchent à harceler le FA. Mes Phalandiers à moi prennent leur voix, sans enveloppe charnelle, et il me disent toutes sortes de choses. Ils se font passer pour AVR, la Psy, Le psychiatre et bien d'autres.

Ca a commencé par des voix d'une Dénommée "Hélène"du lycée et d'une copine à elle du Lycée, elles se sont retrouvées à me parler, avec leurs copins parait-il, qui se sont mises à me dire : "tu es un enfoiré de gendarme qui n'a absolument rien fait pour se faire enculer par un gendarme qui était son voisin de palier alors qu'il n'avait vraiment rien fait du tout". Il y avait aussi un dénommé "Maxime", un dénommé "Guillaume", un jeune qui disait tout le temps "t'as vu l'enculé ?", et d'autres personnes secondaires. Ils ont initiés un harcèlement qui a débuté et n'a plus fini. Les gens ont changés, Maxime est parti, Guillaume est parti, Hélène et sa copine sont partis, est arrivé un moniteur d'Aftral qui a prit le relais, avec des mises en scène d'internement et de décès, et enfin on a eu une "Kélie", une bougnoule, ainsi que d'autres personnes qui n'avaient plus rien à dire. La qualité des interventions avait donc énormément diminuée au fur et à mesure et ça se terminait sur une bougnoule qui hurlait et un bougnoul qui disait n'importe quoi, et tous se mettaient en scène entraint de copuler.

Ils me disaient : tu est schyzo, vas en asile, t'es le type le plus moche du monde, des trucs comme ça. Ils se pleignaient du bruit que je faisais, en ... respirant, c'est dire qu'ils n'avaient rien à dire. C'était du harcèlement et puit c'est tout. Je crois qu'ils veulent que je sois interner, c'est tout ce qu'ils veulent. Ils veulent prendre littéralement l'éxpression "être interné" en l'interprétant in-terre-nez, c'est à dire je renifle des gens que je ne connais pas (je n'en dirai pas plus).

Poilmancie 

J'ai vu dans la poilmancie ce personnage un peu gras qui me ressemble tout à fait. L'enfant que j'aurais ue avec mon AVRounette. Il a un poisson dans la gorge, c'est donc une gouïne, une note de musique sur le nez, il sent donc de fortes odeurs, et il étrangle par le dessus la pensée en utilisant son éxpèrience sensible. En haut à droite, une souris à grandes oreilles.

C'est donc un gros rat comme moi qui aime les cheveux qu'il a sur la tête car il devrait les raser.

Je l'ai appelée raisin d'amour. Sur le Hamster, je l'ai vue. Magnifique. J'ai dit à mes voix "on aimerait bien la voir pleurer", et elle s'est mise à pleurer dans ses mains.

J'en ai fait un gif. C'est dommage que ce soit une burn-breakeuse, c'est à dire une fille qui va essayer de faire commettre des actes de violence à des hommes ou des femmes qui sont encore en demande de satisfaction sociale. C'est ces filles là qui font les crimes, les accidents graves et les suicides.

La lune, c'est un ours et un chien qui lui fait un bisou. J'ai donc voulu prendre des photos, et les nuages ont donnés un bonhomme qui fait un coeur avec ses mains, j'étais étonné, ça s'est transformé en smiley, et en très peu de temps c'était devenu une parenthèse dans laquelle il y avait un smiley au long sexe.

Je marche sur la ligne, les voix sont partout autour de moi, la bougnoulette est insupportable, j'essaye de demander de l'aide aux voix de fillettes, de femmes européennes, qui m'aident un peu, mais la bougnoulette revient tout le temps pour hurler et parler très fort. J'arrive donc sous le pont ou je marche et je vois un buisson en forme de tête de mort.

Le végétal départemental est tout sculpté partout. C'est dingue. On ne nous informe jamais sur ces choses là. C'est le tague local en quelques sortes. Je me demande qui fait ça. L'administration ou des bénévols ? Ce n'est pas un phénomène paranormal, c'est tout simplement la réalité.

Poilmancie

Un homme penché en avant, avec des fesses, un sexe, et une jambe dans un drapé.

Une dent ? Non ? Un personnage indescriptible.

Et il y avait derrière, sur le pied, un personnage assis, qui sourit. C'est donc que le pied fait rire la tante qui a un bras "J", qui est donc à force de pignoler entrain de tomber dans la hiérarchie sociale.