30/04/19 - Un circuit magnétique ?


Voilà, ce matin je rince la tasse et y trouve un rat.

C'est tellement bien fait que je cherche à trouver une éxplication. J'ai pensé qu'il pouvait y avoir un cicuit magnétique dans le fond de la tasse, qui ferait tourner des motifs comme des diapositifs, et influencerait ainsi la manière dont les dépôts adèrent ou non.

Non mais c'est vrai quoi ! On nous parle sans arrêt de puissance et de baise ! Ca veut donc dire que dans la société, l'inovation n'éxiste plus ? Moi j'ai envie de penser le contraire, j'ai envie de me dire que cette modeste tasse contient une technologie ingénieuse de dessin avec une intelligence algorithmique qui lui permet de générer de nouveaux dessins.

C'est vrai quoi ! Le rat je l'ai déjà vu dans la coupelle. Qu'est-ce qui me dit que c'est pas un motifs de rat, programmé pour aparaitre de temps en temps. Il suffirait de se donner la peine d'être sale, pour que la crasse s'éxprime. Etre constement en accident pour accélérer l'apparition de symboles.

Qu'est ce qui me dit qu'on a pas inventé des circuits blancs ? Qui se fondent dans les matériaux des tasses et qui sont non repérables à l'oeil nu quand on les casses ? Après tout, on arrive à m'observer dans des endroits non observables grossièrement, c'est donc forcément qu'il y a des trucs dont personne ne parle jamais mais qui éxistent.

Par exemple, l'AVR manchot avecle bateau charal, vu dans une des tasses précédement. Qu'est-ce qui me dit que c'est pas simplement des objets connectés qui communiquent et qui par exemple donnent à la tasse de nouveaux motifs à intégrer dans son champs magnétique (ou autre chose, j'y connais rien) pour former de nouveaux dépots ?

Si j'approche de nouveaux objets de la tasse, normalement, il devrait y avoir de nouveaux motifs.


Oh ... je voulais essayer un effet nouveau. C'est pas très concluant, mais c'est intéressant malgré tout. C'est de l'animation bricorama. Mais non marketing ! Le bricolage du dimanche, pour des travaux ambitieux, avec improvisation.


J'ai lu le premier chapitre de Bel Ami plusieurs fois pour enfin tout comprendre. Et ça me fait penser à moi à Paris. Les longues marches, la soif, l'impression d'être en décalage avec ces consommateurs professionnels qui claquent le pognon comme on se désaltère, en donnant l'impression que ça leur est vital.

Le personnage s'appel Georges Duroy, et son ami Hussard qu'il croise dans la rue se nomme Forestier.

Georges est invité à boire deux bières, il boit la première cul sec, tandis que Forestier boit la sienne lentement. On se deande ce qu'on aurait fait à leurs place. Se désaltérer ou savourer ?

Ils finissent, et Forestier propose à Duroy de marcher une heure, comme s'il n'avait pas assez marché comme ça. J'ai trouvé que c'était très égoïste de sa part.

Forestier sort deux louis d'or. Ils payent avec de l'or en plus des Francs. Aujourd'hui on peut encore acheter des pièces d'or, mais elles ne servent plus qu'aux collections et à la matière or. Je ne sais plus, c'est quelque chose comme 150 euros pour moins d'une dizaine de pièces.

En totu cas, Georges Duroy a l'air assez antipathique. Il est brutal, pressé, pauvre, mais loin d'être abattut. Il est fait pour prendre, non pour donner.

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