29/09/19 - Un rêve de roues

J'ai fait un rêve.

Il était long, mqis je ne me souviens plus du début. Je reviens de je ne sais où, et je marche le long d'un couloir éxtèrieur, prit entre à gauche un mur blanc lisse peint, et à droite une barrière en béton blanc peint, le couloir est large de moins de 2 mètres.

A ma droite, derrière la barrière, pendant que je marche, passe une femme à vélo, dans mon sens, avec une fine robe en tissu, avec des petits motifs répétités sur toute la surface. Je regarde et remarque qu'elle a des roues de vélos en papier grand et fin comme une roue de vélo. Je me dis que ça va s'user sur le goudron de derrière la barrière et qu'elle va se retrouver avec des roues en choux fleur.

Je continu à marcher et j'arrive au bout de mon couloir, qui donne sur une ouverte de porte dans un mur blanc au fond d'un cul de sac. Je passe le palier et j'arrive dans un esclier descendant prit entre deux murs blancs sans rembardes, je descends, le sol devient plat, toujours entre les deux murs, ça remonte un tout petit peut, replat, jeredescnd et je croise la CPE du lycée qui me croise en contre sens et qui me dit "ah, c'est vous".

Elle passe dans mon, dos, me met une main de chaque côté de chaque bras, et pendant que je continu à marcher et qu'elel me suis, elle me dit "j'ai quelque chose à récupérer" (quelque chose comme ça). Je descends, elle me lâche et passe dans une ouverture de porte à gauche, le long du mur en blanc, juste avant le bout du couloir, qui termine sur un bar de secrétaire à droite, et un petit espace vide à gauche. Je suis du côté de la secrétaire.

Je suis dans un pièce avec des portes en face, sur les côtés, ouvertes, je continu tout droit et récupère mon vélo que j'avais mis là.

J'entre dans un local, il est dans le noir, sur un sol en terre, il fait froid et humide, je remarque qu'il a des roues en papier toilette lui aussi. Je me dis "oh non, mais pourquoi ils ont fait ça ?". Je suis dépité. J'en ai marre, le sort s'acharne, je suis fatigué.

Je sors avec mon vélo à côté, je reviens dans la salle du secrétariat, et je demande à une secrétaire à coudés au bar qui parle à une femme, où se trouve la sortie. Derrière elle, oubien à droite. Elle me dit que c'est bien derrière elle.

Je reprends donc le couloir par lequelje suis venu. Dehors je monte sur mon vélo, il pleut, et je roule dans des flaques, par accidents, mes roues sont trempées, le papier toilettes gondole.

Le haut village n'est pas loin dans mon rêve, j'arrive devant le haut village, je vais dans la cave, sors une paire de roues qui traiait là, celles du vélo j'imagine. Je commence à démonter mes roues de vélo, contre un genre de brouette ou de carcasse de bagnole rouillés, je ne sais pas trop. Arrive les Taha, Jacques, claire, et d'autres. Jacques arrive, me dit, "on est obligé de ", en me tendant une main horizontale que je serre. "Ca fait combien ? 9 ans ?" je lui dis. Claire cause, elle me regarde du coin de l'oeil et va dans la maison.

Je me concentre sur les roues et je me sens devenir de plsu en plus sec, inconscient, et déterminé à en finir avec la roue, Jacques, et tout le reste.