09/01/19 - Interdit de faire



J'ai commencé ce blog avec un gif que j'ai modifié par la suite avant de le poster. Ca représentait un cube jaune, qui tombait, et remontait un texte jaune : richard ordinateur le retour. Ensuite venait une sorte de grossière tornade rouge vif.

Le cube c'était eux. Je voulais transformer leur simple violence en textes et images.

Et bien depuis que j'ai commencé le blog, j'ai l'impression de ne plus pouvoir suivre. Si bien que le réel, le leur, s'accumule et je ne le relève plus forcément.

Un coup vient, la réponse tarde.

Parfois rien.

Ils, qui sont-ils déjà ? Les francs maçons, par rapport à l'Hôpital ? Quand j'étais sur le parking de la police pour aller au dentiste, une voiture kalxonnait, c'est donc que la voiture était de la police. Le psychiatre, quel rapport avec la police ? Mme Pour... quel rapport avec la police ?

C'est compliqué. Je crois que lorsqu'on atteint le stade "apocalyptique", on a des gens de la police qui débarquent. Ce serait pour éviter qu'on prenne des informations, qu'on se forme, qu'on s'éduque, qu'on fasse quoi que ce soit qui nous tire du présent et de l'impuissance à le changer.

J'ai l'impression que la police veut faire de moi un zombie débile, qui souffre, qui demeure, et qui ne prenne sous aucun prétexte une seule voie professionel.

Je dois avouer que je ne comprends pas pourquoi ils recherchent mon malheur.


Je constate que j'ai du mal à saisir le réel, à en faire des textes et des images.

Quand je vois quelqu'un, ça ne m'intéresse plus. Quand je vois un phénomène ça ne m'intéresse plus non plus. Je n'ai plus envie de m'intéresser au monde parce que je m'y sens prisonnier. Des routines peuvent s'installer, la surprise indispensable à ma curiosité n'a plus d'effet.

J'ai déjà joué mes cartes, déjà improvisé pour les doubler tous. Sauf que je suis financièrement et imaginativement contraint, désormait, à vivre dans une cellule nationale de grosses réponses automatiques à une infinité d'improvisations et de créations.

Je sors, ils sortent. Je me concentre ils kalxonnent. Je vais à une place de parking, ils occupent cette place de parking. J'observe quelqu'un, ils klaxonnent. Je dessine, ils klaxonnent. Je parle, ils font des rondes autour de moi. Je marche, ils font des rondes autour de moi. Et comme ça, sans arrêt, ils violentent celui qui pourrait interpréter les faits et gestes de tous.

C'est ni plus ni moins qu'un totalitarisme abrutis reposant sur la drogue et la passivité.

Passif chez soi ou passif dans un emploi dans lequel on essaye de te virer par tous les moyens.

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