15/01/19 - Son passé trouble



I

De tête : Elle est de Strasbourg, mais en fant a déménagée. Elle a suivi des études de philosphie, est allée étudier à Chicago, a fait un stage à Europe 1 avant d'entrer à France Culture.

Donc ... c'est un vide total.

Qui ou quoi à remplit ce vide ? Mystère.

Ca m'étonnerait qu'elle ne faisait que lire et regarder des films. Peut-être éxerçait-elle une profession dont elle ne dit rien. Genre bibliothécaire ?

Mais vu son physique on se dit qu'elle aurait d'avantage fait Hôtesse qu'aucun autre métier. Voir plus si affinités. Voir encore plus si porte monnaie. On l'imagine dans des restaux riches, la potiche, qui profite de tout ce que ses prétendants veulent lui confier pour briller.

Ou alors elle a toujours eu des GMS autour d'elle. France culture n'a été que l'aboutissement de son importance dans le milieu féminin gouïnes.

Ou alors elle a été dans le milieu TPorn (mot inventé, pour élargir le vocabulaire), comme spécimen de valorisation hiérarchique entre hommes.

Quoi qu'il en soit, son physique a obligatoirement joué un rôle déterminant dans la manière dont le vide de sa biographie a été remplit.

Biensûr, elle a pû se marier, avoir un ou des enfants. Mais elle n'a pas le physique d'une femme au foyer qui serait restée à s'empâter chez elle. Biensûr, elle aurait pû avoir un mari comme le voisin qui pine du lever au coucher sans pauses, dans un lieu bruyant. Sauf qu'elle a l'aspect physique de son âge, l'aspect physique de quelqu'un qui ne s'use pas tant que ça. On se dit qu'à se rythme elle pourrait vivre 90 ans.


II

Dans cette photographie d'elle, on voit qu'elle a le bois d'un sauna derrière elle, et une poignée rose ressemblant à une jauge de chaudière. Est-ce à dire que c'est un sauna ? Est-ce à dire qu'elle y est entrée ? Si oui, était-elle accompagnée ?

J'ai, via une postérisation de son visage, mis au jour les deux visions possibles de sa réalité : un visage angélique qui appel la violence, un visage de sorcière qui attise la curiosité. Dans tous les cas de figure, elle est condamnée à être un centre d'intérêt.

Alors, ceux qui ont précédé étaient forcément intéressés, mais en avaient-ils conscience ? A t-elle fait l'objet de convoitises raisonnables ou pulsionelles ? Combien de blaissés ? Combien de victimes ? Qui a piné qui en pensant à elle ? Comment le pinage a t-il été possible ? A t-on réussit à empêcher les pineurs fous de faire des victimes inocentes ?

III

La photographie a t-elle été pensée dans le but d'obtenir une postérisation double ? Si c'est le cas, je me demande comment ça fonctionne. Je crois qu'il faut comprendre l'agorithme de postérisation, les seuilles de découpages et s'assurer que la photographie puisse se faire découper convenablement par l'algorithme.

Ou alors c'est l'appareil photo qui a un algorithme intégré, qui capte le visage et réparti les valeurs pour mettre en chaque visage une version lumineuse et une version sombre. En fonction des marques et des modèles, il y aurait différentes informations construites et comprises dans l'image.


IV

J'ai essayé deux ancienne photos d'elle, et elles n'ont pas cette division des valeurs entre bien et mal.

Sur celle-ci j'ai utilisé une postérisation en valeur 2, et une en valeur 3, auquelles j'ai ajouté un contrast maximum. Il n'y a rien à dire de particulier sur le résultat obtenu.


Je me demande si on ne pourrait pas associer la postérisation 2 à l'ombre, et la postérisation 3 à la lumière. Ici, en 2 on aurait un sexe féminin, en 3 un bassin avec les jambes serrées, peut-être croisées.


V

Qu'il y ait du sens ou non dans la postérisation, qu'il soit humain ou logiciel, son interprétation a un intérêt, j'en suis sûr.

Commentaire AVR : Mais qu'est-ce qui m'a prit de vous promettre une lettre mon adelounette ! Je ne suis pas comme ces types qui vous promettent de faire des choses dans le dos d'un negre, de rire de lui, qu'il soit mort ou vif,et de jouïr et de le tuer. Moi je ne propose que du possible. Qu'est-ce que je pourrais vous écrire de possible ? Puisque je ne sais pas je n'écris rien. J'ai commencé à écrire des brouillons, dans lesquels je parle de rire, de sérieux, de possibles, d'impossibles, mais ça n'autorise rien de neuf. Voulez vous que je vous écrive une lettre dans laquelle je vous annonce qu'entre nous rien est possible ? Ce serait bête, non ? Je n'ai pas envie de me suicider moi. Ecrire c'est choisir entre le suicide et la superficialité. Vous voir c'est sérieux, mais puisque c'est impossible c'est un suicide qui viendra à la place. Vous en pensez quoi vous ? Dois-je vous l'écrire, ça ? Oubien vous le comprendrez sans ? Et si je ne vous parle pas de ça, de quoi vous parler ? Je ne connais pas grand chose, ni au cinéma, n au théatre, ni à la philosophie, ni à quoi que ce soit.

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