18/02/19 - Rêve de trains


I

Je ne me souviens jamais de mes rêves, mais il y en a certains dont je me souviens. C'est étrange que ce soit spécifiquement celui avec un train dont je me souviens à chaque fois.

Il est assez long, mais il ne se passe pas grand chose.

Il y a une ligne de chemin de fer, avec deux rails côtes à côtes. Je suis avec des gens sur une sorte de wagon-bateau-locomotive, c'est à dire que c'est un plateau sur rails, sur lequel on peut marcher, et sur lequel se trouve une cabine, un peu comme sur les bateau avec la cabine et le pont.


On avance sur le rail donc, tous ensembles, moi je suis assis, d'autres aussi. Il y en a qui sont debouts. On arrive progressivement à ratraper un train qui est sur le rail d'à côté. On se met au même niveau que le dernier wagon, sort sur le côté de notre plateau des barres qui viennent s'en filer dans des poutres creuses qui traversent le wagon du train sur la largeur.

Le type qui commande le plateau arrête les moteurs, et on se laisse entrainer par le train.

Le dernier wagon est largué par le train, il perd de la vitesse, nous avec, et le train continue d'avancer. On retirer les barres enfoncés dans le wagon, on rallume les moteurs, et on ratrappe le train. Cette fois on s'accroche à l'avant dernier wagon.

Le temps de faire les manoeuvres ça prend un certain temps. On entend des chocs métaliques et on voit dernière nous le dernier wagon qui est largué.

On se détache de l'avant dernier wagon qui est devenu le dernier entre temps, et on rallume les moteurs. On décide de continuer à la force des moteurs, on arrive lentement au niveau du wagon du train, on le dépasse et le train s'arrête quand on l'a dépassé, se laissant continuer, trainé par la force qu'il reste encore de son mouvement ralentissant.


Les rails se mettent à descendre, le plateau accélère.

es rails sont suspendues dans le vide, tenues par des piliers métaliques façon ligne à haute tension, et le plateau accélère de plus en plus.


Ca devient tellement violent qu'on ne peut plus que s'accrocher, comme dans un grand 8. On entre dans un brouillard, et le rêve s'arrête.

II

J'associe trains et grand 8, tout le temps. Je ne sais pas éxpliquer pourquoi.


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