18/03/19 - Douleur de nuque


I

J'avais une idée de gif 3D à faire, mais j'avais trop mal à la nuque. Douleur 9,5/10. Je me M+Z depuis quelques jours, il fait froid, donc il y a une tension qui s'installe, une douleur qui aparait et ça monte très vite en intensité.

En général je sers les dents très fort sans m'en rendre compte quand la douleur commence à devenir trop violente. Là c'était le cas. Je me disais : "si tu sers les dents comme ça tu vas te les casser un jour à force". Mais je pense pas que ça arrivera parce que plus jeune, à ce qu'il parait, je grinçait des dents la nuit. A ce qu'on me disait ça s'entendait.

Donc pris par la douleur, j'avais pas d'idées alors j'en ai fait un gif.

Je ne suis pas sûr de ça, mais il me semble que j'en ai déjà fait un gif qu'était dans ce genre. Ou alors un dessin. Ou une photo retouchée.


Quand la douleur est manifeste, on regrète que ça se voit pas plus de l'éxtèrieur. Je me regarde dans la glace et je vois quelqu'un qui n'a pas l'air de souffrir. D'ailleurs je ne sais pas vraiment dire qui est ce type que je vois dans la glace et ce qu'il fait de ses journées.

Ce que je sais c'est que je me tolère assez. Par contre, quand la souffrance devient attroce je cherche en moi ce qui pourrait servir de piste à creser pour le secteur médical, me disant que ça pourrait peut-être être un secteur intéressant un jour si j'arrivais à faire coïncider de graves symptomes avec une solution toute faite idéale.


Pour les chicos, il n'y a rien à faire vraiment. Pour le nez, ce matin et en début d'après midi j'avais du mal à respirer, je me disais qu'il me restait ça à faire valoir.

La nuque est éxtrêmement douloureuse, certe, mais apparement c'est périodique. Parfois ça lance éxtrèmement violement, parfois ça se calme

Quand on entend que les antidouleurs sont dangereux pour la santé, je me demande pourquoi. Un petit Doliprane ça ne devrait pas faire de mal, non ?


Parfois, la douleur est t-elle, que je perds conscience, il me semble. Je deviens peut-être hystérique. Ce que je fais, c'est que j'ai envie de vomir, j'ai mal au coeur, je me sens très mal, et je commence à préparer de la nourriture.

La préparation m'inquiète puisque je me dis : "et si je fais uen crise cardiaque à l'issue de ce repas ?". Pourtant je termine ce que je prépare, en quantité bien trop importante comme à l'accoutumée, et je le mange.

Là, j'ai les jambes qui se refroidissent, la respiration qui devient difficile, et je me demande si un évanouissement ne risquerait pas de venir cloturer tout ça. Le système digestif se déglingue, et ... AAAH ! Respiration ! ça va mieux !

C'est ce climax, ce point ultime qui précède le soulagement, qui m'inquiète.

Se sentir mal, très mal, et se dire qu'autruit est dans le dos pour éxiger de moi des efforts additionnels, comme le faisait le voisin à Guy II A, ne peut pas me permettre de me détendre totalement. Par conséquent, une crainte de décéder reste en moi et elle m'oblige à un perpétuel effort sans objets.


On termine sur Ready Steady GO de Oakenfold, qui n'a strictement, mais alors strictement rien à voir avec tout cet article.

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