24/09/18 - Rêve ROLR 1


Rêve très court, qui n'a pas de sens, seulement un lieu, des gestes et des observations.

Tout d'abord je conduit une voiture qui m'a l'air plus sophistiquée que les 306, mais plus ancienne que la mienne actuelle. Le moteur a un son de vieux diesel, la caisse a l'air fixée sur des suspentions dures, le siège est en tissu.

On sent des chocs parce que je roule au pas sur une petite route pleine de nids de poules, comme un chemin serré entre deux haies végétales de 3 mètres de haut au maximum, coupées droit, comme des murs végétaux. Les haies ont de grosses feuilles, elles sont percées par endroits, parfois l'absence de feuilles laisse voir tout l'intérieur du buisson avec ses branches et son tronc.

Je roule lentement donc, et mon chemin se termine sur une cours goudronnée fermée, carrée, ancienne, fissurée de partout, avec des herbes qui poussent ça et là dans les fissures.


Sur une carte je dirais que je suis arrivé sur l'angle du bas à droite de ce carré. En bas à gauche il y a un bâtiment en briques de béton visibles, avec des planchettes de bois sur le desuss assemblées pour dépasser la facade sur le dessus. Le bâtiment n'a pas de toiture, il est plat au dessus. Devant c'est une sorte de baie vitrée à bordures métaliques.

Je roule sur cette cours, il y a des arbres un peu partout pour quadriller.

Je cherche ma route, fais le tour de la cours, et vois une sortie en haut à gauche du carré.

Je prends la sortie, qui est toujours entourée de haies, comme la cours, comem le chemin.

J'arrive sur un chemin plus large qui s'alérgie et se divise en deux chemins, cette fois-ci couverts de pelouze.

Le chemin de droite a une grosse flaque d'eau marron au milieu. Je sais que c'est là que je dois aller.

Mais les chemins sont en pente, et pour sortir de la cours on pren une descente. Alors je descend, je m'arrête, regarde les deux chemins, les haies, qui les serrents, je remonte les 10 ou 15 mètres qui m'éloignent de la cours. Je les reregardes. Je redescent et remonte la pente plusieurs fois pour finalement renoncer.

Je stationne mon véhicule dans la cours, il y a du monde, 5 ou 6 types en costumes cravates. Je reconnais François Fillon, il monte dans une berline noire perpendiculaire aux deux chemins de sortie, perpendiculaire au chemin d'entrée. On dirait qu'ils avaient réunion dans le petit bâtiment.

Je suis assis dans ma voiture, il fait frais, j'observe.

D'autres sortent encore, des femmes en tailleurs, des gens en habits plus "bureau", ils retournent tous à leurs voitures.

Fin de rêve.

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