23/05/19 - La nature est au dessus de l'Homme
Je suis allé marcher hier, pour perdre du poids, parce que je me suis gravement empâté et je ne peux pas rester dans cet état. J'arrive en fin de provisions, je vais naturellement être amené à diminuer ma consommation de nourriture, mais pour aller plus vite, une activité physique est indispensable.
Alors dons je vais au port sec, je commence à marcher, et débarque une voiture, qui me tourne le dos, je vois ses trois feux lumineux rouges, et elle commence à faire une Guy II A. On a un homme et une femme qui parlent, tout en vibrant, ils ont l'air de se touiller, de se toucher, c'est des vaix éxtrèmement désagréables, et là ... BOUM, une intonation de basses, et une viration de voix, re BOUM, intonation suivie de vibration. C'est un viol public, ni plus ni moins.
Le son me faisait penser à cette scène.
Donc je sais que ce qui est recherché c'est l'anihilation de toute pensée structurée en raille, pour une pensée en bulles. Dans le but de faire de moi un légume. Alors je me concentre sur ma réflexion et j'essaye de la tenir fermement active, et rigoureusement rationnelle.
J'entends des bovins dans une ferme voisine qui devienent à moitié fous, ils hurlent, font un bruit limite inquiétant, à croire qu'un intrut est rentré là où ils se trouvent, et c'est là que m'ai venue l'idée : "et si j'essayais de me parler de l'intelligence des biches".
Alors j'ai développé le sujet en prenant mon temps : les biches en élevage, les biches dans la nature, la réflexion et la biche, la biche et l'éxpèrience, évaluer l'intelligence d'une biche hors sol, évaluer l'intelligence d'une biche en contexte de chasse, le savoir de la biche, la stresse et l'inquiétude de la biche, l'intelligence physique et sportive de la biche, les sensations communes entre homme et biche.
Et puis je me suis demandé ce qui différenciait le chien de l'Homme, j'ai pensé aux notions de respect, aux notions de faim, de soif, de douleur, d'hystérie, et au langage qui permettait à l'homme et au chien de communiquer ces états communs. J'en ai conclut que le rapport homme-chien était toujours nuisible à l'homme ou au chien par manque de respect de la part de l'un ou de l'autre.
Et là j'ai commencé à regarder autour de moi pour voir ce que la nature pouvait avoir caché de dessins dans la végétation, dans le ciel, dans la terre, enfin partout où je pouvais voir de la matière agrégée non linéaire.
out d'abord le ciel était un peu clair, mais étoilé. Je n'y connais rien en étoiles et ne peux donc pas prendre le temps d'y voir quoi que ce soit. Je pourrais relier les points et former des motifs, mais ça n'aurait aucun intérêt et ce serait tout à fait arbitraire.
Et j'en vois deux au Nord, et Deux au sud qui clignottent. Je me dis que ça doit être des avions. Ils se dirigent de l'Ouest vers l'Est. Quatres avions d'un coup au dessus de la tête ça me parait un peu beaucoup. Je me demande s'ils viennent de Bretagne ou de l'autre côté de l'Atlantique. Parce qu'à L'Ouest on a la Bretagne et après c'est les US.
Dans ma tête je me dis que ce système de lumière clignotante ils ont dû le mettre au point pour repérer les avions quand la liaison radio ne fonctionne plus. On doit demander à des gens à terre dans les zones où ils sont sensés volés de jeter un oeil à la nuit tombée pour voir si ça clignotte. Et je me fais la remarque que la puissance de la lumière doit être assez énorme pour que je la vois de là où je me trouve. Si j'en avais une comme ça dans mon studio j'aurais des factures de 200 euros/mois.
J'ai vu des choses dans le végétal, des têtes de bovin/biches et le reste était très caricatural, ça faisait penser à des peintures préhistoriques, où de l'art produit par des tribues reculées qui vivent dans la nature.
Mais dans le ciel il y avait un nuage qui ressemblait un peu à ça. Une tête de méduse de profil, bouche ouverte, avec trois serpent à l'arrière de la tête, face à un type à bandeau sur les yeux, et derrière lui un visage couché avec un long nez.
C'est le visage aux yeux bandés qui m'a un peu intrigué parce qu'ils avait un nez pointu et un menton pointu, ce qui me faisait penser à la tête de blonde que j'ai faite en 3D au début de ce blog.
Aussi, ça me faisait penser à la tête de Macron que j'avais vu dans mes frites saucisses. Il avait lui aussi les yeux bandés.
Quel rapport ? Le visage couché pourrai faire penser à AVR, et Macron pourrait être au dessus d'AVR. Et AVR serait la méduse en face de Macron ?
Macron serait Belge, peut-être un Tintin, et la saucisse allemande lui cache la vue ? Il ne voit pas qu'elle a des serpents dans les cheveux, ce sont les inventifs, et il l'a dans le Q en étant au dessus d'elle. Peut-être est-il aveuglé par la rage que lui inspire la saucisse de l'inventif ?
On dirait le système A. Il est au dessus de la prostituée (bon ben là on dirait AVR), et du sourcil (l'inventif), mais il a quand-même la rage qui l'aveugle.
Peut-être que le port sec correspond au système A, dans lequel Tintin est coupable. Et le système Y c'est quand Tintin est innocent. Mais dans les deux cas, Tintin crève.
Hier j'ai été trop bref sur l'écriture de la PSY. Je voudrais fair eune analyse lettre par lettre de ce qu'elle écrit. Mais petit précision, la première ligne n'est pas de la psy. Je ne sais pas comment j'ai fait pour confondre.
Le "e" c'est un petit e, comme un noeuds fermé dans lequel rien ne passe. L'idée c'est : dedans non.
Le "u" est large, écarté, et pointu, comme s'il y avait l'obligation d'utiliser, de les coucher tous, et de les utiliser en faisant mal parce que c'est ce qu'ils attendent.
Le "d" est l'union d'un e cassé sur u, c'est un d fermé. On dirait qu'elle est fermée au sexe féminin.
Le "s" est un c sur un e couché, ou un l cassé sur un e couché. Il y a encore l'idée de surplomber le sexe féminin, et de subir la fatalité de cette situation.
Le "p" est court, droit et ouvert, ou long en parenthèse et fermé, ça veut dire que soit elle utilise pour comprendre, soit elle utilise pour qu'on l'utilise.
Le "t" est haut, il est soit trop hautain et inaccessible à la voyelle qui le suit (Il a l'air de soulever sa robe en se penchant vers l'arrière, ou en se baissant pour relever sa barre), soit il fait l'effort de s'incliner pour être au niveau.
Le "m" est horizontal, parfois deux vagues couchées l'une à côté de l'autre, et parfois les deux vagues s'unissent pour n'en former qu'une.
Le "b", il devient un e et il baise (au sens embrasser) le r en se fondant avec lui. On dirait un sexe masculin en bouche puisque le r a à voir avec la gorge.
Le "r" est large, il y a cette idée de gorge profonde.
Le "n" est minuscule, fermé, ressemble à un noeud, ou un v. Il y a l'idée du suicide qui a eu lieu, du noeud coulant qui s'est déjà serré. C'est un n coupable, de celle qui sait qu'elle peut être condamnée. C'est aussi l'idée que la haine est pour le petit, l'insignifiant.
Le "c" est allongé, elle comprend horizontalement.
Le "h" évoque un trône, il a une longue barre vers le haut, elle n'est pas libre et a un grand pouvoir à ne pas être libre.
Le "l" refuse la sodo, il va donc se glisser dessous la voyelle qui suit pour l'obliger à agir. On devine un esprit manipulateur.
Le "1" est une pointe, elle sait qu'elle est le lot du gagnant mais c'est une souffrance.
Le "5" est un "nique" horizontale qui évoque un sourcile, et en dessous la forme d'un sein ou d'une testicule. C'est l'idée d'aller droit au but dans l'effort et faire baloter la matière molle en la manipulant.
Ce que ça nous dit c'est qu'elle a de la chance, elle le sait, elle couche, se sait obligée de jouer son rôle, et ce n'est pas un rôle indolore.
On prend une carte et on remarque que la flèche est au coeur d'un X dont les branches sont : Laval, Le Mans, Tours et Angers. Mais ça on s'en fout. Non, si on prend la ville de la flèche, on retrouve cette partie molle au dessu de la quelle se trouve un sourcil. Mais le 5 de la psy n'a pas de courbe, c'est une partie molle sur un corps sec, fin. C'est une partie molle qui tombe un peu.
Vous pensez qu'elle a une poitrine comme son 5 ?
