22/05/19 - Scriptologie du dimanche


J'ai repris les écritures manuscrites de plein de rendez-vous, dedans il y a des docteurs et des secrétaires. Mais tout n'est pas forcément lié au secteur de la santé. Je vais donc essayer de caractériser leurs écriture avec une analyse graphologique simple comme on nous la propose au premier tuto google proposé à la recherche "analyse graphologique".


Alors ça c'est chez le dentiste. J'ai eu le droit à la sombre, à la rosette et au dentiste. Je croi suqe le dentiste est au centre, mais sombre et rosette, je ne saurais pas dire qui où elle se trouvent.

La première est : rapide et énergique, optimiste, introvertie, hâtive et négligée.
Le dentiste est : pas envie d'écrire, découragé ou fatigué, éxtraverti, clair et organisé, lent et créatif.
La seconde est : Maitrise ses émotions, instable, éxtraverti, claire et organisée, hative et négligée.

La première, à vue d'oeil je dirais qu'elle raye avec son écriture le fardeau qui l'attend. On dirait qu'elle dit oui à une liste de travail à faire, mais parce qu'elle croit à la fin définitive de touses ses fardeaux. On dirait qu'elle nous dit : "aller, encore un petit effort et ce sera bientôt terminé".

Le dentiste il a une écriture piquante, reptilienne, et en même temps scolaire, on se dit qu'il pourrait pousser des coudes pour réussir, frapper à l'improviste de manière foudroyante, et qu'un résultat devra tomber. Je le vois bien avec une bande de jeunes qui épatent les minettes.

La troisièmre fait des M en forme de Pi, des E et des C et des D en forme de C, ses ronds sont déchirés, ouverts, le poitn sur le i est cassé. On dirait l'écriture d'une séropositive, qui est prise de tous les côtés, et qui a es perspectives à plus ou moins longue échéance de faire croitre son "projet".


Ca c'est une infirmière. Elle est : rapide et énergique, instable ou incertaine, éxtravertie, claire et organisée, hâtive et négligée.

Le Q est enforme de spirale, l'écriture semble distordue, on dirait qu'il y a un impacte sur le texte. Il y a des pointes, on dirait de la douleur, mais on dirait qu'elle ignore la douleur et qu'elle continue sur un rail. On dirait une écriture de taureau, déterminée, mais qui a déjà commencé à prendre des pointes.


Ca c'est dieu. Elle est  : sais maitriser ses émotions, instable ou incertaine, introvertie, aprécie les foules, forte et chaleureuse.

Elle a l'air installée, pressée, ayant beaucoup de choses à faire, mais demandant à faire beaucoup de choses, on dirait qu'elle aime la performance. Il y a un peu de douleur peut-être. De la mesure. On deviene un esprit froid, calculateur.

Elle fait des H en forme de Champagne Ardenne, elle est donc offenssive et n'est pas libre. Elle rentrerait dans la catégorie des colombien j'imagine, qui s'arment et qui tirent au premier venu parce qu'aucune amitié n'est possible.


Alors ça ... ça peut très bien être la secrétaire, oubien la blonde qui tourne autour de la secrétaire, oubien la brune qui a remplacée la secrétaire. Parce qu'elles changent.

La première et dernière sont la même. Elle est : rapide et énergique, instable ou incertaine, éxtravertie, claire et organisée, créative, hative et négligée.

La deusième au milieu est : rapide et énergique, optimiste, éxtravertie, claire et organisée, chaleureuse et créative.

La première a l'air ouverte mais dans sa bulle, elle dit oui mais c'est aussi non. Elle a l'air un peu schyzophrène. Elle doit-être suiveuse dans les groupes de filles. Elle doit compter ce qu'on lui doit, tenir des compte pour chaque personne, avoir de la haine contre ceux qui lui en demandent trop et contre ceux qui ne règlent pas leurs comptes. Je la vois bien "d'éxtrème droite" "qu'a des amis étrangers". Par exemple, le genre qui veut bien d'un negro si ça lui permet de présenter la facture après coup.

La deusième a l'air un peu plus sensible, douillette, elle a sûrement un paysage mental qu'elle colle par dessus la réalité pour se la rendre agréable. Le genre pour qui il doit y en avoir beaucoup qui prennent la réalité en pleine tête pour la lui épargner. Je l'imagine pleine d'idées, qu'a déjà tout ce qui lui faut dans la vie mais qui s'autorise à voir encore plus loin, et plus dans le détail.


La secrétaire d'un autre endroit. Elle est : de mauvaise volonté, optimiste, éxtravertie, apprécie les foules, chaleureuse, créative, hâtive et négligée.

Elle, j'imagine qu'elle est un peu tête en l'air, qu'elle demande des conseils, qu'elle fait de son mieux. Elle a eu son emploi par une connaissance, une amie, ou de la famille. Elle a en abondance tout ce qui lui faut, n'a pas d'hystériques dans son entourage. Elle a tout, mais si elle s'intérroge elle ne sait pas vraiment pourquoi elle a tout. Elle est un peu dépassée par les causes d'une réalité dans laquelle elle arrive à se rendre indispensable.

Une secrétaire introvertie c'est rare, elle fait ps le métier sinon. Donc elles sont toues éxtravertie à ce qui parait. Mais dieu serait introvertie. C'est intéressant. Est-ce qu'on peut penser qu'elles travailleurs leur écriture en connaisance de causes ?


Alors moi, je suis : rapide, énergique, optimiste, éxtravertie (mais paranoïaque peut-être), apprécie les foules (je serais communiste ou croyant en un ordre divin ?), attif, négligé.

A vue d'oeil comme ça, moi je dirais que c'est une écriture qui laisse voir de la souffrance, on dirait une présence aléatoire au monde, avec des hauts et des bas, on dirait que je suis un peu dépassé par ce que j'écris mais j'essaye de coller à ce que j'écris pour ne pas être absent. On dirait que je me force à être au texte, malgré la douleur, mais que je me laisserais bien m'éffondrer une bonne fois pour toute pour ne plus jamais me relever. Ca ressemble un peu à une mentalité de chien, dressé, contraint, absolument pas dans son élément. On a l'impression que mes mots sont du métal qui a servit, cabossé, percé, avec des parties coupantes, de la rouille. On n'a pas envie de garder le texte, il est fait pour la poubelle, il a l'air d'être en fin de vie. Et mes virgules sont looooooooooongues. Comme si je suis cassé, et que je me chie dessus depuis tellement longtemps que j'en suis devenu un colombien qui tire à l'aveugle pour éviter le contact.

Mes majuscules sont tranchées avec une ligne diagonale. Comme si je voulais couper les têtes qui dépasses. Comme s'il n'y avait qu'une seule réalité, celle pour laquelle mon texte s'est cabossé, et donc tous ceux qui veulent plus que la réalité sont coupables.

Mes "f" ressemblent à des ailles de libellules. Mon "f" est donc un insecte, bourdonnant, rapide, faitguant, qui s'unit à un autre f pour former un coeur et copuler. C'est le "f" des marrés, de la vase, des crapauds, des tétards, c'est un f humide, poisseux.

Mon"p" a l'air d'avoir un sexe qui pointe vers le bas.

Mon "j" est une demie parenthèse et aussi un point virgule.

Mon "t" ressemble à un épie de blé ou de maïs. J'ai le "t" collectif, travailleur, arrassant.

Mon "e" est une boucle ouverte. Comme un piège posé par terre dans la forêt. Il suffirait d'y mettre la patte pour qu'il se sert. Ou alors un noeuds coulant qui ne demande qu'à se serrer.

Mon "r" est en courbes, comme une dent ponssée, qu'on aurrait grattée et qui serait devenue lisse.

Mon "c" ressemble à une demie parenthèse. Je comprends réellement les choses.

Mes "s" ressemblent à des serpents, ils prenent du recul, s'avenssent, comme s'ils suivaient un charmeur ou une proie du regard pour lui bondir dessus. Mais parfois mes s ressemblent à des dents des canines. J'ai le s dans la gueule, qui veut goutter à tout et qui est obscédé par cette idée.

Mon "a" ressemble à un "e" penché contre une barre verticale. On dirait un "e" amoureux d'un pique. C'est la fille volée, pourtant convoitée, qui choisit le plus riche et le plus armé. Un capable d'enfoncer des piques. Après un s, je veux les mordres, ils devienent piquants. Après un n, ils ont la politesse de se dévoiler, ils sont points piquants. Après un p, j'ai cassé le pique sur leque le e s'est posé. Après le c, le a semble tout disposé à me comprendre, et il a un long sexe, c'est un rapport pédérastique.

Mon "i" ressemble à une tige molle sur laquelle tombe un point (plutôt une virgule) moue.

Mon "n" et mon "m" sont en forme de triangle suivi d'arcs voutés. C'est la hiérchie, suivie des places au sein de la hiérarchie.

Mon "o" est un e avec une pique cassée. Je ne suis prêt à recevoir que lorsque l'erreur du e est réparée.

Mon "u" prend la forme de deux piques. L'utilisation est une destruction très nuisible à ce qui est utilisé. Je suis pour comptabiliser les usages faits de tout et n'importe quoi pour éviter l'assassinat de qui que ce soit.

Moin"." est un point tout ce qu'il y a de plsu banal. C'est un coup net de crayon, qui vient pénétrer la feuille pour éviter qu'elle ne soit hystérique pour cause de travail pas fini.


Hier soir j'ai été marcher au port sec. A vrai dire je m'étais couché, mais je me sentais boudiné, empaté. J'avais les cuisses graces, le ventre gras, et je me suis pris de panique : "et si je fini énorme d'ici demain ? Et si tout ce que j'ai mangé était stocké dans la nuit ? Ca voudrait dire que je vais me réveiller encore plus énorme ?". J'avais la tête qui tournait, des faiblesses, ça n'allait pas vraiment fort, alors je me suis dit que me reposer dans et état c'était suicidaire, il fallait que je me nettoie les artères avant de me coucher en allant pomper de la calorie. Je saute dans mon futal, manteau, groles, smartphone, clés, et je pars marcher.

Quand je suis arrivé j'ai remarqué que j'avais oublié mon smartphone. Du coup la marche a été une des meilleurs marches que j'ai jamais faites.

Je suis resté sur la partie asphaltée du chemin, à côté du parking, et j'ai décidé de faire 10 aller retour. J'en ia peut-être fait 11. Pendant ce temps je me parlais à moi-même pour voir si j'avais encore le cerveau qui fonctionnait, parce que j'avais des vertiges de temps en temps. Je savais qu'il fallait que je fasse assez d'efforts pour que les vertiges s'en aillent, donc, confiant, je continuait à marcher.

J'ai pensé aux travaux de al ligne de chemin de fer. Je me demandais qui les a fait et comment. C'était un appel d'offre ? On a affiché des pancartes "recrute ouvriers pour chantier de nouvelle ligne de chemin de fer" ? Oubien c'était uen entreprise qui avait déjà du personnel et qui faisait le tour du pays pour faire les travaux partout ? Je me demandais comment ça se passait pour les paysans dont on faisait a ligne à côté de chez eux. Peut!être qu'ils voyaient débarquer des types avec des pelles et des pioches et qu'ils leur vendaient des produits de la ferme ? Ils devaient se rendre des services. Peut-être qu'il y a eu des vols ? Et je me suis imaginé la Mayenne, sans routes et sans lignes de chemin de fer. Ca devait être d'un banal ... des montées, des descentes, des arbres, des animaux sauvages et domestiques, à perte de vue, rien de plus.

J'ai pensé un peu à Vincent Lambert. Je crois qu'en fait il s'agit d'un "baiseur" qu'airait les lombaires foutus à force de se piloner, et donc la question qu'on se pause c'est : doit-on aider quelqu'un qui s'est détruit à faire tout ce que les autres auraient voulu faire à sa place ? Je me suis dis que ceux qui voulaient le garder en vie devaient pas être nombreux en réalité, là on fait comme si on était pour, mais en fait tout le monde est contre. Sauf qu'on se dit peut-être que le laisser mourir lui, c'est passé au suivent moins grave, et encore au suivent moins grave, jusqu'au moment où on va se demander s'il ne faut pas eutanaiser quelqu'un qui a une carie dentaire parce qu'ils ne pourrait plus jamais rouler une pelle Hollywodienne sur une plage de sable fin avec ses cheveux blons au ralentit soulevés par le vent.

Et donc c'est vers la fin de ma marche que j'ai commencé à regarder les arbres autour de moi et que j'ai vu des choses.


Reprenons les dessins (Les proporitions sont fiables à 70%, voir 80%).

Le premier uqe j'ai vu c'est un type assis, qui prenait tout un arbre. Il ressemblait à la champagne ardenne (le placard de Guy II A était couleur beige et champagne), ou au bébé sur la coupelle (En sauce tomate), mais lui il avait le crâne fendu. Et à bien réfléchir je me demande si je ne l'avais pas déjà vu et si ce n'était pas lui qui m'avait inspiré les coureurs à la tête entonoire fendue.

Ensuite en descendant, j'ai vu un arbre immense, ou deux, ou trois, qui ensemblent formaient une sorte de dindon/canard géant de profil. C'était tellement beau qu'on se serait crut à une fête thématique avec un animal gonflable géant. Je me serais cru en enfance. J'étais au pied de la bête. Ca donne presque envie d'avoir un parc d'atraction avec des animaux géants de 20 ou 30 mètres de haut, qui ne soit basé que sur l'humiliation de la taille ridicule de l'humain. Entrez et devenez un insecte au pays des géants.

Je me sentais détendu, frais, bien heureux d'avoir vu la volaille dégante et là j'ai remarqué qu'en haut d'un arbre il y avait un dauphin à côté d'un petit personnage qui le regarde, qui ouvre la bouche et qui ouvre les bras.

Donc il y a l'idée d'une volaille, d'un homme au crâne fendu assit sur un trône, d'un dauphin et d'un personnage qui suce et enlasse un dauphin. Ce qui doit vouloir dire que le roi des cons est cassé dans les bras, alors malgré le coup de hâche sur la tête qu'il s'est prit, il se chie dessus, et la dinde/canne est au point G.

C'est en quelques sortes un choix fait, dans une proposition constante à choix multiples.


Je pense que Tintin c'est le type au crâne fendu, que sa mère la prostituée est le placard beige-champagne de Guy II A ou champagne Ardenne, et le Studio est le lieu dans lequel Kali va rituellement partouzer le cas social dans le but de le mettre au placard. Je pense aussi que Tintin est le dauphin. Le sourcil c'était donc le voisin qui a pour but de me mettre au placard. Et je me suis retrouvé au port sec, j'ai refusé de me mettre dans la position du cassé (dans l'accolade), ce qui a eu pour conséquence de casser la prostituée.

Plus largement, on peut dire que Tintin a le sourcil (voisin) et la prostituée (voisine ?) dans le Q. Soit il se casse en devenant pédéraste, soit il se chie dessus en refusant l'absence de propositions viables. S'il refuse, on le viol, ce qui va stimuler le sexe féminin ouvert.


Sur une carte on remarque que le parking du port sec est en forme de scie. Est-ce pour cette raison que le personnage assis comme la champagne ardenne/placard/prostituée a le crâne fendu ?

La poule/dinde/canard est tout en bas. Juste au dessus, le dauphin et le personnage aux bras ouverts, et totu à droite le personnage assis au crâne fendu.

J'aurais bien pris des photos mais là il n'y vraiment aucune lumière, c'est la nuit complète, seul le ciel vient faire contraste avec la végétal.

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