23/06/19 - Un peu d'AVR, et Non à eux


Un peu d'AVR, ça nous manquait. Je lui consacrerais bien un film mais, ... ben là tout de suite ça me dépasse un peu comme projet, m'voyez ?

Je ne sais pas si c'est vraiment elle qu'on voit, là, mais elle ressemble un peu à Voltaire. C'est peut-être des filtres qu'ils ont pour lui donner les proportions de philosophes en fonction des thématiques.


Le problème c'est que je manque de longueur. Donc je rajoute ce petit gif dans lequel elle fait brièvement une tête de troie. On la voie rarement, déjà, et encore plus rarement entrain de faire une tête de troie.



Avant-hier j'ai posté une musique youtube faite par informatique, c'est de l'acide. Sur l'illustration il y a une cassette audio, en intro on a une voie (d'un des gars au lycée que j'ai connu pour ses traffiques de drogues et sa tendance à enculer avant de fuir à toute vitesse), il répète "sarah" en boucle. Les sons c'est ... je ne sais pas trop. Un moment on dirait un hélicoptère, puit ça tourne vers des sonts de baffe ou de coups de poings, et ça se termine je ne sais plus trop comment, tout je ne sais plus trop comment ça a commencé.

Donc je me suis souvenu que j'avais fait ça : "Decembre 2016 - Stage chez Kösch". 10 minutes.

Quand je lai fait je voulais voir mon endurance, ainsi que mon aptitude à rester intéressant sur la longueur. Je me suis contenté des sons que j'avais sous la main, les plus rapidement accessibles, je les ai tous utilisés ou presque, et ça a donné ça.

Le résultat est franchement bien. Beaucoup plus que les travaux professionnels qu'on entend partout tout le temps.

Mais du coup je me suis demandé quels sons j'avais utilisés, pourquoi, ce qu'ils racontaient. Et en fon de compte c'est assez simple, c'est un son rocco, autiste, violés, brutal, triste. C'est un son de taureau dans un contexte douloureux. Ou de porc qu'on essaye d'abattre. J'arrive à tenir 10 minutes avec de la musique de porc, c'est quand-même pas mal.

A contrario, la musique d'hier est une musique arabe-street-rap, elle cherche sa victime, l'entraine dasn une partouze, déclanche un combat, et se termine. C'est une musique de chasse, la chasse au porc ou au taureau que ma musique incarne.

En terme simple, je suis celui qui dois mettre en taules celui qui a fait la musique à laquelle la mienne s'adresse. J'ai la charge de la preuve et de la condamnation.

D'ailleurs je ne sais pas ce qu'est devenu le type du lycée, mais s'il est allé en taule, je pense qu'il ne l'a pas volé, pour une fois il aura mérité un truc qui lui serait arrivé.




Interdit d'interdire numéro 69, on a un sosie du type. Il a une coupe en brosse dans l'émission.


Chose étrange, le type que j'ai connu zozotait un peu lui aussi. Je me souviens que lui, son pote espagnol pauvre, et l'autre aux yeux bleus clairs, je me souviens que c'était les trois que je voulais le plus tuer physiquement.

La rage, à l'état pur, c'est ça que j'ai éprouvé. C'était la première fois de ma vie que je rencontrais des sans couilles séropositifs de la ville. Je connaissais pas du tout ce monde. Pour moi, le monde était fait de paysans, qui ont des affaires, les maisons étaient toutes des QG d'entreprises familliales, les enfants étaient tous prits dans une entreprise, avec de la compta, des achats, des ventes, du travail, des animaux à nourrir, à déplacer, à traiter, à soigner, des tâches de manutention, etc.


Or non. Je me suis rendu compte qu'en fin de comptes les jeunes de la ville c'était des genres de pachas, sans couilles, hystériques, qui slaloment entre les bombes, qui touchent des pensions pour absence de couilles, et qui n'ont pour ultime but dans la vie que d'aller en taule pour se faire sodomiser.

C'est avec lui et ses potes que j'ai découvers ce qu'était l'homosexualité. Et c'est là que j'ai été déçus de découvrir qu'en ville, les filles ne sortent qu'avec des homosexuels. C'était une déformation relative à leur mode de vie de sous hommes. Apparement, quand ils s'emboitent les uns les autres comme des fiottes, il n'y a que lorsqu'on est homosexuel qu'on est viable pour soit et pour ceux qui qui forment une communauté avec nous.


Or, en campagne, j'avais grandis sur un mode hétéro, on pouvait naïvement s'intéresser à une fille pour elle-même. On était pas obligé d'enculer et de se faire enculer.

Autant dire que j'ai mal vécu cette découverte, et je pense que ça a été le plus grand traumatisme de ma vie.

Je venais de découvrir que la société était homosexuelle, hystérique, et ne se posait aucune question sur le fait que ce soit logique ou non. C'était simplement un mouvement vers le pire qui avait été commencé unjour, le mode le plus agressif avait gagné. Tout continuerait dans l'ultra violence, tant que personne ne déciderait de rétablir l'ordre et la raison.


Je pense qu'on peut dire qu'on est en guerre en France, parce qu'on est un pays homosexuel depuis un long moment maintenent. Ca prendra fin quand on reviendra à l'hétérosexualité traditionnelle.

Mais l'éducation nationale est structurellement homosexuelle. Et toutes les institutions ont  bêtement reprit son modèle pour homosexualiser tout. L'hétéro à notre époque, est SDF ou Milliardaire, et les autres sont homos par manque de moyens de s'épanouïr dans leur nature profonde. Mais le SDF hétéro qui en vient au viol pour assouvir ses pulsions, va en prison, une institution homosexuelle. Donc, quoi qu'il arrive l'hétérosexualité n'est pas prévue dans notre société.


Non

Je sais ... je sais qu'il suffit de parler aux gens pour être en mode guitare, en mode stimulation génitale. Je le sais très bien. Le silence nous positionne en mode anal, avec douleurs, parfois des envie de vomir. Mais moi j'ai choisis de ne pas parler il y a longtemps, à une époque où j'étais plongé dans un néant affectif complet. Ceux qui m'ont adressé la parole un peu brutalement, je les ait eu dans le postérieur, à souffrir réellement.

Je me suis entêté sur la voie du silence, et j'ai cumulé suffisement de souffrance pendant suffisement de temps pour pouvoir affirmer que je suis arrivé à un point de non retour. C'est facile de s'éxprimer en public, se satisfaire devant tout le monde, dans une grande partouze sociale . Mais qu'il y en ait qui fassent voeux de silence, qui continuent leur vie, ne restant muets pendant 1 ou 2 mois, et ils se rendront compte de ce que ça peut être de voir tout le monde se pignoler à baver des phrases gluantes dans des soupes de causeries. Ils verront ce que c'est que de souffrir la présence de chaqun d'entre eux.

On pousse un rire, et on a lâché la sauce, on fait une remarque et on a lâché la sauce, on donne son avis et on a lâché la sauce. Mais le silence c'est ne jamais lâcher la sauce. C'est garder pour soi, tout, et consumer les déchets du monde dans le foyer infernal de ses souffrances profondes.

Je préfère rester silencieux, quit à souffrir, quit à les tenir tous responsables d'une souffrance injuste, plutôt que de m'éxprimer et satisfaire mes pulsions en un claquement de doigts comme le premier venu.


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