03/11/18 - Je suis malade


On nous dit dans la presse que Macron est fatigué ? Et bien j'en profite pour me déclarer malade. Je suis quand-même à 9/10 sur l'échelle de la douleur donc ce n'est pas absurde comme décision. J'ai un genre de mal de dent, mélé à un mal de nuque, les deux très aiguës, on saurait pas dire si c'est la dent ou la nuque qui fait le plus mal. La nuque ratatinée, contratée, comme enflée, et le coeur qui tape contre la cage thoracique.

Du coup je suis moins productif pour ce qui est des articles.

Je me faisais quand-même la remarque que c'était dommage d'avoir le voisin et d'autres dans le dos, qui faisaient du rapport que j'entretiens avec leurs couples ou leurs famille recomposée, comme l'apha et l'oméga de tout. Moi je voudrais juste être seul, me reposer, et faire des gifs, de la 3D, de la programmation informatique et apprendre des choses au hasard. J'ai pas envie qu'ils m'obligent à consacrer toute mon énergie à être l'intru de service. Me battre contre des types qui veulent un énemie à abattre pour leur bonnes femmes, ou aller fourer des bons hommes pour des bonnes femmes, ça m'intéresse pas, c'est pas un projet de vie intéressant à mes yeux. J'ai rien à gagner à faire ça. Je l'ai déjà assez fait je crois. J'ai mérité un peu de repos.


Ce boitié en plastique sur le mur, d'une drôle de forme, c'est le conduit d'aération. Dans les pires phases de paranoïa, avant que je ne me fasse à l'idée qu'on avait vraiment comploté contre moi pour me pousser vers la voie de l'asile psychiatrique, je me demandais si ce truc là, ce conduit, ne pouvait pas faire entrer et sortir de l'air.

Au dessus des chiottes il y en a un, au dessus de l'évier aussi. Je me souviens qu'une fois je sortais des chiottes et le voisin s'est mit à tousser et st couru sur le balcon reprendre de l'air, avec un rire qui semblait être celui qu'avait prit un coup, ou avalé un truc, ou SENTI un truc excessif pour lui. De là j'en ai conclu que, fourbe comme ils étaient, faisant appel à l'industrie du porno, ils pouvaient avoir relié le conduit d'aération à un genre de distributeur d'air, un genre de cabine à respirer l'atmosphère venu de tel ou tel endroit. Je me suis dit que l'autre qui s'étouffe quand je sors des chiottes et le fait que chez lui ça pue ... d'une violence ! Ca devait être parce que c'est un genre de pervers nasal, qu'aime renifler les chiottes des filles (parce que c'est un studio pour femmes à la base). Je me dis que ça tient la route. Ce serait un genre de goutteur. Il renifle et il note ce qu'il sent pour le partager et aider les autres à se faire une idée de comment que ça doit sentir, la personne violé.

J'espère que ce que je dis est faux, que c'est un "délire", mais malheureusement je fais comme si c'était vrai. Je dirais que c'est l'acculumation de choses comme ça, que je considéres vraies par défaut, qui on tendance à m'épuiser le coeur. On a identifié le Q, on a dit que c'était une décharge d'adrénaline, et bien moi j'ai un filet d'adrénaline constant qui me fatigue prématurément et nuit gravement à ma santé. J'ai cette malchance d'être épuisé, endolori, comme un animal malade, et qu'on me demande en même temps de me battre avec les gens. On me le demande pas, on me force à le faire en excitant mes douleurs. C'est absurde quand on sait qu'il y a des tonnes de jeunes encores tous neufs qu'on fait végéter/ Moi j'éstime être déjà bien usé. J'ai la nuque et les hanches qui sont hors services, on va me faire monter la pression, je ne pourrais pas bouger, et ça va finir en problèmes cardiaques. Tout ça gratuitement celà va s'en dire, aucun salaire, aucun statut, aucune retraite, rien. Que des douleurs et un coeur qui fait des siennes.

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